Madame, Monsieur,
Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir prendre connaissance du résumé de cet ouvrage dont le manuscrit est à votre disposition. Comme vous le savez, Mathias Ollivier est déjà connu des médias et de la presse écrite. (Cet ouvrage sera publié accompagné d’une chanson du même titre, qui sera programmée en radio). Dans l'attente de pouvoir nous rencontrer, soyez assurés, Madame, Monsieur, de notre considération pour les buts que vous poursuivez ; en vous priant d’agréer nos sincères salutations. (Jean Marie / art-access)
« On se retrouve toujours au Luxembourg »…
IVème de COUV :
Cet ouvrage est une plongée dans le cœur des hommes. Il ne s’agit pas du récit d’un « grand amour », il s’agit plutôt d’un roman « d’amours », qui racontent la quête de Tom et Marcus pour qui la vie sans amour n’est rien. Ils sont adeptes de l’amour fusionnel, ce qui les fait apparaître comme de gros naïfs. Pris dans la vague féministe les deux amis sont en plein désarroi ; ils se sentent paumés et frustrés. Les deux amis mettent en cause le totalitarisme de la femme qui veut tout et qui en plus veut tout ! Ils fustigent les mouvements féministes et les idéologies destructrices d’un monde désacralisé. Ils dénoncent les infidélités et l’affligeant mépris qu’ont pour l’homme certaines femmes ainsi que l’arrogance de celles qui se refusent. Les deux amis justifient leur adduction au sexe par leur dépendance à la loi du rut dont tout mâle subit les volontés. Ils stigmatisent la vénalité domestique, ils ne sont pourtant pas misogynes… Leur quête les amène à vivre des relations qui leur font payer cher leur vision idéale et révolue de la femme. Le sexe faible n’est plus ! Les femmes ne partagent plus grand chose avec les hommes ; elles n’ont même plus besoin d’eux pour procréer. Elles sont devenues des hommes et les mâles se féminisent de plus en plus. Tout cela contribue à briser le cœur de l’amour. L’amour n’est plus qu’un bien de conso comme les autres qu’il faut pouvoir s’offrir pour en profiter ! C’est l’ère de l’amour à crédit ! Entre deux relations les deux amis vont se balader au jardin du Luxembourg pour se ressourcer. On les y retrouve en plein bilan sentimental. Avec cet ouvrage, l’auteur plaide en faveur de la naïveté des hommes, en brisant les tabous que d’aucuns tentent de leur enfoncer dans le crâne.
Profile de Mathias Ollivier :
Mathias Ollivier est connu du grand public, des médias et de la presse écrite. Comme l’ont souligné certains journalistes, il est probablement un de nos grands auteurs contemporain ; à découvrir. Mathias Ollivier, c’est un style très personnel que l’on reconnait à son humour caustique via l’emploi de néologismes et de métaphores qui interpellent. Avant d’en venir à la littérature, il fit carrière dans la chanson. Il en écrivit des centaines. Cela explique le rythme de ses phrases et la manière dont il passe les mots à la centrifugeuse. Les jeunes lecteurs et lectrices sont par conséquent très réceptifs à son écriture. Cet auteur, bien qu’il provoque parfois certaines sensibilités, déborde d’humanité. Mathias Ollivier expose dans ce roman sa vision de l’amour (ou plutôt de ce qu’il en reste), dans un style qui claque. Son humour décapant, devrait dérider lecteurs et lectrices. Tantôt cru, tantôt poétique il casse les codes de la bien pensance et donne du style au récit. Parfois présenté comme iconoclaste patenté, il est plutôt un « éveilleur » qui donne du grain à moudre aux fanatiques des « me too » et du féminisme profane. Roman turbulent certes mais émouvant. Les lectrices en attente d’un happy end ne seront pas déçues, puisqu’il s’agit d’amours… Et bien plus encore d’Amour…
SUR LE FOND ET ENTRE LES LIGNES :
Cet ouvrage dépeint les mœurs de la société. Tableau dans lequel, tout le monde a son chapitre de critiques et de gloire. La civilisation tremble sur ses bases ; la société se fracture et nos sentiments s’effilochent… Dans l’écriture de Mathias Ollivier, il y a toujours une part de subliminale, un sens qui se devine à travers le non dit. Il faut donc savoir le lire entre les lignes.
Selon Mathias Ollivier, l’amour est la première victime de nos actes et de nos dérapages. Les actions humaines publiques ou privées, les plus intimes même, bouleversent la cosmogonie Occidentale. Les doutes et la peur rythment nos rapports à l’autre. L’amour du sexe opposé se fane. L’amour sensuel mue en artificiel et succombe au chaos compromettant l’équilibre de la société toute entière ! Or, l’amour a horreur du pire. Il y aura donc tôt ou tard une mise à jour de nos logiciels…
TECHNIQUEMENT :
Les personnages de ce roman sont crédibles. Ils paraissent humains, nuancés ; leurs réactions sont en accord avec leur caractère et leur situation dans l'histoire. Ils véhiculent une variété d’émotions que toute personne a connues. Les personnages sont variés. Ils offrent une large diversité de profils, d'âges, de caractères, et d’expériences. C’est un point fort de l’intrigue, car cela permet d’introduire des perspectives différentes sur une même scène. L’image imaginée pour la couverture de ce roman est codifiée pour un livre de littérature générale ; ce qui est un aspect important pour attirer l’attention des lecteurs.